Journal Intime Collectif
Collectif
Jeunes citoyen
« A Paris, Marseille, Montpellier et Melun, des dizaines de citadins scrutent leur ville avec passion. Ils tiennent un JIC. En clair, une chronique, non des aléas de leur nombril, mais de tous les micro-événements dont l’espace public est le théâtre : dispute au marché, manif, brève de bus ou de comptoir… Le pronom « je » y est banni, mais pas la subjectivité. Chaque texte est discuté par jicquiens, mis en ligne et/ou publié. « Nous construisons la mémoire d’une cité, explique Caroline Sarrion, instigatrice de ce projet né en 1994. Participer à un JIC oblige à être attentif à son voisin ». Et, l’oreille en alerte, le trajet en bus passe plus vite. »
L’Express
(Jeux de mots)
La consigne comme moteur d’une aventure
« La règle du jeu : ne pas dire « je » et raconter des histoires qui ont pour décor un lieu public de la ville. Chacun apporte son texte qui retravaillé collectivement et estampillé ou non « jic ». »
Marseille l’Hebdo
(Sur le web)
Le JIC marque de fabrique du Journal Intime Collectif
« c’est une démarche originale. Le principe : des réunions collectives où chacun amène une petite histoire de ville sur un bout de carnet. Une tranche marseillaise qui sera lue et élue ou pas pour figurer dans le fameux JIC. Une balade toute subjective dans Marseille. En s’inscrivant sur le site on peut recevoir des nouvelles du JIC. »
Marseille l’Hebdo
Site Internet : www.ejic.com
214 p (2006), Volume IV, Editions : Vinaigre
14 Euros, ISBN : 2-952-5959-0-9