Les 950 000 jours de Marseille
I. |
Où l’on apprend que Marseille, née de l’amour d’un marin grec pour une fille de Provence , est sauvée par l’amour d’une fille de Provence pour un maringrec. |
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II. |
Dans lequel Xénos-le-copiste explique à l’auteur la Constitution qui émerveilla Cicéron, et le convainc de la sagesse des premiers Marseillais. |
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III. |
Où Pythéas-le-Massaliète raconte son expédition au Pôle Nord, calcule la latitude de Marseille, et regrette d’être considéré comme un galéjeur. |
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IV. |
Où César s’aperçoit que les Marseillais sont plus forts que les Gaulois, perd huit mois devant les remparts, et finit par négocier avec eux. |
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V. |
Dans lequel Pétrone, écrivant à Marseille le premier roman du monde, fait la critique de l’empire romain et l’éloge de ma ville. |
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VI. |
Où l’auteur fait la connaissance des premiers chrétiens de Marseille, et entend raconter par des témoins le supplice et la mort de Saint-Victor. |
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VII. |
Où l’on assiste aux premières querelles au sein de l’Eglise, et ou l’évêque de Marseille est accusé d’avoir fait assassiner l’évêque d’Arles. |
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VIII. |
Où l’auteur, dans une Marseille déjà malmenée par les Barbares et achevée par trois épidémies de peste, reçoit les confidence de Saint Théodore. |
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IX. |
Où Marseille, pour se protéger des Sarrazins (et de tous les envahisseurs de leur temps) sur réfugie toute entière sur la butte Saint-Laurent. |
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X. |
Où Marseille, revigorée par la débâcle sarrazine, met les bouchées doubles après avoir cru deux fois à la fin du monde. |
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XI. |
Où Marseille, méritant pour la première fois d’être appelée « porte de l’Orient » gagne une fortune, un peu de gloire et beaucoup de honte avec les Croisades. |
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XII. |
Où Marseille, coupée en deux, réinvente la République et fait de son cimetière le centre vital de sa démocratie parlementaire. |
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XIII. |
Où Marseille, trahie par l’un des siens, organise complot sur complot pour retrouver son indépendance et voit mourir sur l’échafaud ses meilleurs défenseurs. |
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XIV. |
Où les deux villes de Marseille n’en font enfin plus qu’une par la grâce d’une reine bien-aimée que les Marseillais ne parviendront pas à sauver. |
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XV. |
Où l’auteur découvre une Marseille qui vient juste de cesser d’être une ville pontificale, et entend une horrible histoire à l’issue d’une plantureux repas. |
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XVI. |
Où Marseille, malgré son courage, est réduite en cendres par fidélité à un roi et pour satisfaire l’orgueil d’un autre roi. |
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XVII. |
Dans lequel on fait la connaissance du meilleur souverain du monde, prince des troubadours, et père du peuple de Marseille. |
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XVIII. |
Où Marseille, qui vient de tomber - en héritage – aux mains du roi de France ne tarde pas à le regretter et sauve ses privilèges une première fois. |
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XIX. |
Où les Marseillaises démontrent qu’elles savent aussi bien se battre que leurs hommes, et où Marseille sauve le trône de François 1er. |
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XX. |
Où les premiers Corses entrent dans l’histoire de Marseille, pour y assouvir une vendetta, pour y faire des affaires, ou pour y mourir par fidélité au roi. |
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XXI. |
Où Marseille, refusant la souveraineté d’Henri IV se donne un dictateur, et fera ensuite de l’assassin du celui-ci un héros inavouable. |
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XXII. |
Où Marseille donne son nom à la plus jolie des fille et la plus délicate des poétesses, laquelle meurt d’amour pour un homme qui ne la mérite pas. |
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XXIII. |
Où l’amour d’un curé pour une de ses paroissiennes le conduit au bûcher, et fait de Marseille une ville de superstition et de haine. |
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XXIV. |
Qui voit Marseille perdre définitivement ses libertés pour s’être rebellée contre l’autorité de Louis XIV, après avoir, pourtant, accueilli Louis XIII avec enthousiasme. |
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